Dans le billet d’altiplane, on évoque la possibilité avec le service BO.LT de transformer une page Web en objet social (« éléments d’information à la base de conversations entre individus« ), c-a-d de pouvoir, sur ce nouvel objet social :
- poser des actions : par exemple transmettre, partager, imprimer, télécharger, ajouter, visionner, étiqueter, collaborer, commenter, regouper, « favoriter », clavarder, transclure, faire un lien, …
- tenir des conversations
(caractéristiques essentielles d’un objet social : Cours Téluq INF6107 – Web Social – module 5)
Seulement peut-on librement utiliser certains objets sociaux comme des pages web de certaines entreprises, organismes, des données personnelles … ? voici quelques pistes de réponses :
- Habituellement les sites commerciaux ou d’entreprises ont des indications légales spécifiant les limites d’utilisation de ces sites (propriété intellectuelles, …).
- une possibilité serait d’adopter une certaine éthique et par exemple, de citer les sources (dans le cas du site web copié ou modifié : citer le site web « original »).
- généraliser les sites web sous contrat Creative Commons Paternité 2.5 (comme le cours Téluq INF6107): permettant d’utiliser librement des contenus, mais avec certaines limites.
Voici le billet du site JurisExpert.net qui pose la problématique de l’aspect juridique du Web 2.0 comme ceci : « le Web 2.0 n’évolue pas dans un cadre juridique inexistant ou nouveau. Il nécessite simplement la transposition des règles désormais connues, applicables sur Internet, à ses particularités, marquées par une interactivité accrue et la rapidité de circulation des informations. »